Femmes d’Alger dans la prison de Rennes 1954-1962

      « Femmes d’Alger dans la prison de Rennes 1954-1962 »

Jeudi 9 mars, 18h30 à la MIR

Réservation dans la limite des places disponibles sur HelloAsso

Depuis le début de la conquête/ invasion de l’Algérie par la France, des Algériennes se sont levées pour résister à la colonisation. Leur rôle, souvent déterminant, a été occulté par les histoires officielles des deux pays,  le colonisateur et celui qui a arraché son indépendance. Dans la répression de ces résistances, de nombreuses femmes se sont retrouvées dans les geôles de la métropole.

Pendant la guerre d’indépendance – « les événements d’Algérie » plusieurs « moudjahidates » de diverses origines (métropolitaine, pied-noire, marocaine et évidemment algérienne) dont certaines, condamnées à mort, sont passées par la prison de Rennes. Après leur libération (toutes furent graciées en 1962) et celle de leur pays, plusieurs ont eu un rôle politique et ont participé au combat des femmes contre leur oppression

Dans le cadre des animations proposées pour la Journée Internationale des Droits des femmes, Champs de justice et Rennes-Sétif proposent une conférence de Luc Thiébaut  sur ce passé peu connu des Rennais.e.s.

Jeudi 9 mars, 18h30 à la MIR, Maison Internationale de Rennes, 7 Quai Chateaubriand, Rennes

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Luc Thiébaut est un ami de l’Algérie depuis 60 ans. Il y a travaillé. Il fut professeur de l’enseignement supérieur agronomique. Passionné de ce pays et de ses relations avec la France, il anime des conférences sur divers thèmes concernant l’histoire, le patrimoine et l’actualité du Maghreb  et son empreinte dans l’Hexagone. Il est co-auteur, avec la réalisatrice Caroline Philibert du film « À chacun son Algérie »

 

Champs de Justice propose avec la Librairie Le Failler une liste d’ouvrages disponibles sur le thème de la conférence.

Prison Barberousse à Alger (Serkadji aujourd’hui)

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